Maladie encore très mal connue, l’endométriose touche environ 10% des femmes en âge de procréer. Ses symptômes physiques douloureux vont jusqu’à devenir handicapants parfois.
Qu’est-ce que l’endométriose ?
Voici une brève présentation de l’endométriose afin que vous puissiez, tout de même, mieux comprendre l’hypothèse du lien entre cette maladie et son origine émotionnelle.
L’endométriose est la formation d’une multitude de fragments de muqueuses à l’extérieure de la paroi utérine. La conséquence en est des douleurs inflammatoires de par leurs saignements.
Ces fragments se propagent au niveau entre autres des ovaires, des ligaments utérins et du péritoine. Ils peuvent aussi parfois migrer vers les organes digestifs, les reins et le diaphragme.
L’utérus est constitué d’une muqueuse nommée endomètre. Celle-ci se forme mensuellement (les cycles) pour recevoir l’œuf, si fécondation il y a, et lui permettre de se développer.
Les femmes atteintes de cette pathologie peuvent déclarer des problèmes de fertilité (entre 30 et 40% des malades)*.
L’endométriose mérite que l’on s’intéresse de plus près à son origine…Qui sait, peut être émotionnelle ?
La maladie, une solution biologique de survie ?
La médecine allopathique s’intéresse de plus en plus à l’effet du stress sur notre santé. Cependant en cherchant la cause au niveau physique (métabolisme), on agit sur la manifestation, laissant de côté le facteur émotionnel.
On ne peut plus aujourd’hui ignorer la relation entre notre psyché (nos émotions) et notre corps (les organes).
Un médecin controversé allemand, Ryke Geerd Hamer, constate l’apparition d’un cancer des testicules suite au décès accidentel de son fils.Il s’interroge alors sur le lien possible entre cet événement et sa maladie.
Nous sommes dans les années 80.
A partir de là, il consacrera exclusivement ses recherches sur la faisabilité de la relation entre le vécu émotionnel et la manifestation de la maladie.
Il suivra pour cela de nombreux patients atteints de cancer jusqu’en 1985 où il présente sa thèse sur le Dirk Hamer Syndrome (DHS). Il prétend avoir trouvé le lien entre l’apparition, la localisation et le déroulement de la maladie.
Pour cela, il établira cinq lois, qu’il nomme « les 5 lois d’Airains« .
La 1er Loi
La première de ces lois indique clairement que toute personne vivant un sur-stress, de surcroît dans l’isolement et en pensant qu’elle n’a pas de solution face à l’événement stressant bascule en mode de survie.
Concrètement, le cerveau va mettre en place une solution biologique afin que nous puissions continuer à vivre dans ce mode de survie. N’oublions pas que nous faisons partie de l’espèce animale (mammifères).
Dans la nature, il nous faut pour survivre mettre en place toutes les chances de notre côté. Chaque minute de gagner est une minute de vie en plus !
Nous sommes porteurs de plusieurs mémoires animales comme la peur du danger ou le conflit de territoire, très archaïques certes, mais toujours efficientes.
Elles agissent toujours en nous de manière automatique, plus pour les mêmes raisons certes, mais pour la même cause : nous maintenir en vie !
Ce n’est qu’en prenant conscience de celles qui agissent en nous que l’on peut décider de transformer certaines de nos croyances. C’est le pas indispensable pour ensuite se libérer des mémoires passées.
Très souvent, leurs origines proviennent de mécanismes protecteurs activés par reconduction inconsciente de programmes familiaux.
La solution (biologique de survie) est en fait un moyen de s’adapter à l’inadaptable. Elle se traduit par ce que l’on nomme : la maladie.
Cette première Loi met en évidence la relation cerveau-émotions-corps.
Pour enfoncer le clou, le docteur Hamer démontrera par simple imagerie médicale (scanner), l’impact de l’émotion au niveau cérébral. Chaque choc émotionnel produit une empreinte spécifique à un endroit précis dans le cerveau.
Endométriose et mémoires émotionnelles
Si l’on accepte la probabilité que l’on puisse être à l’origine de nos maladies, selon comment nous vivons émotionnellement les évènements de notre vie, l’endométriose n’échappe pas à la règle.
Comment établir les liens
- Connaitre l’organe ou système organique affecté par la maladie
- Découvrir et comprendre ses fonctions organiques
- Répertorier les symptômes que nous percevons dans notre corps
- Faire un rapprochement analogique entre la fonction organique et ce que je vis dans un domaine de ma vie
- Utiliser les symptômes comme le miroir d’émotions enfouies ou refoulées
De manière pratiquo-pratique
Si nous mettons en pratique les cinq étapes présentées ci-dessus, nous obtenons :
- L’organe: L’utérus / Le système organique : le système reproducteur
- Sa fonction : La nidation – le nid – reproduire
- Symptômes : douleurs – Inflammation
- L’analogie : Relation métaphysique entre l’utérus et le foyer. Endomètre et peurs de nidation (danger) – Préférer la nidation à l’extérieur du foyer – le domaine de la vie concerne la vie sentimentale et familiale (le clan)
- Émotions : Douleurs = peurs / Inflammation = colère
Le message métaphysique de l’endométriose
- Se pourrait-il que j’ai peur de mettre au monde l’enfant dans ce foyer ?
- Pourrais-je être porteuse de croyances négatives me concernant en tant que mère ou mon rôle de mère ?
- Mon inconscient me pousse à croire que l’on ne puisse pas accueillir l’enfant dans ce foyer ?
- Se pourrait-il que j’aie peur de devoir laisser mon enfant à l’extérieur souvent et/ou longtemps ?
Nous ne sommes pas toujours conscients de certaines croyances familiales nées du vécu de nos aïeux. C’est ce qui fait que nous vivons un sentiment d’impuissance face à la douleur et à la maladie.
Ces questions ne sont que des pistes. Mais elles peuvent vous aider à prendre conscience que l’endométriose bien souvent, exprime que la personne souhaite inconsciemment « mettre le bébé » hors du nid.
Ou bien, elle voudrait créer une autre matrice pour recevoir cet enfant (l’accueillir ailleurs). On cherchera alors ce qui a pu se passer précédemment dans la vie de celle-ci ou dans sa généalogie en lien avec la descendance, l’enfant.
On cherchera aussi si il n’y a pas des secrets de famille dans la vie sentimentale des aïeux.
Exemples
- Enfant qui a dû être placé car c’était dangereux de le laisser dans le foyer…Femme qui n’a pas vraiment de sentiments amoureux pour l’homme avec qui elle vit ou bien son cœur est partagé avec une personne qui est à l’extérieur du foyer.
- La personne a t-elle peur de devoir faire garder son enfant de longues journées ? Peut-être culpabilise t-elle ou bien a t-elle peur de ne pas pouvoir lui apporter l’amour qu’elle désire ?
En quoi ce message peut-il m’aider ?
- Si notre cerveau est capable de trouver une solution biologique afin de nous aider à traverser l’épreuve que nous pensons ne pouvoir dépasser, alors il peut inverser la machine. C’est à dire désamorcer la mise en place du processus. Puis transmettre une nouvelle information à notre système nerveux et endocrinien. Mais pour cela, faut-il encore que nous ayons trouvé par nous-même la solution !
C’est en ce sens que le message prend tout son sens et devient donc utile. Grâce à lui, nous allons pouvoir agir !
Cela bouleverse nos croyances sur la maladie, c’est un fait. Et alors, pourquoi ne pas s’ouvrir à l’idée que celle-ci a peut-être un sens différent que celui que la médecine contemporaine lui attribut. Les médecines traditionnelles, elles, le savaient.
La maladie est un avertissement qui nous est donné pour nous rappeler à l’essentiel. Proverbe tibétain.
Décider de comprendre ce que notre corps exprime au travers de la maladie n’exclue nullement d’intervenir sur celui-ci de manière douce et le plus naturellement possible afin de l’aider à retrouver son équilibre vital. Nous entrons là dans un contexte de médecine globale, le corps et l’esprit.
Les 4 étapes de la transformation
Pour revenir à l’endométriose, je vous propose d’expérimenter par vous-même ce qui suis.
- Premièrement, il va vous falloir prendre conscience du message métaphysique de l’endométriose
C’est à dire vous poser les questions correspondantes à cette pathologie puis de laisser monter en vous ce qui résonne ou qui fait « corps » avec votre vécu.
- Deuxièmement, vous devrez accepter ce qui est. Accepter le message tel qu’il est. Sans vouloir le changer ou le refuser.
C’est à dire qu’il vous faut par exemple accepter le fait qu’une partie de vous refuse de porter l’enfant que vous désirez pourtant. Ou bien accepter le fait que vous êtes porteuse d’une mémoire qui ne vous appartient pas et dont vous n’étiez même pas consciente.
- Troisièmement, il vous appartient maintenant de transformer la croyance liée à cette mémoire.
C’est à dire que vous devenez actrice dans le processus de votre guérison. C’est par contre l’étape la plus délicate. Car elle demande de revenir à la source, là où le choc émotionnel est apparu. Il a pu survenir dans votre jeunesse, l’enfance, la vie fœtale ou bien encore ne pas faire partie de votre vie (mémoire généalogique).
Mais, vous devrez quand même vous libérer de cette mémoire émotionnelle si vous souhaitez que votre cerveau enregistre une nouvelle information qui lui permettra d’agir en conséquence. Il est préférable d’être accompagnée dans ce travail de libération de stress émotionnel.
Celui-ci consiste à renouer un contact avec l’enfant que l’on a été. Le replacer dans la situation conflictuelle et demander à l’adulte que l’on est aujourd’hui de l’aider à trouver une solution. Un jeu de rôle s’instaure dans un cadre calme et rassurant.
L’adulte devient l’accompagnant de cet enfant en détresse et lui permet de prendre du recul sur la situation vécue.
Il peut le rassurer et lui proposer d’agir autrement qu’il n’a su le faire au moment de l’événement traumatique. Tout ceci est réalisé en état modifié de conscience (ce qui équivaut à une profonde relaxation) afin de calmer le mental et pouvoir ainsi se connecter à nos sens.
C’est grâce à eux que notre cerveau peut enregistrer les nouvelles données durant le travail de libération.
L’événement traumatique peut aussi se dérouler au moment des premières relations amoureuses. Par exemple, une jeune fille qui a vécu une relation amoureuse conflictuelle. On l’aidera alors à verbaliser ce qu’elle n’a pu exprimer au moment de la situation de sur-stress.
Là encore, l’adulte d’aujourd’hui que vous êtes sera le meilleur accompagnant pour l’aider dans ce parcours de transformation intérieure.
- Quatrièmement, vous devez poser un acte
Une fois la prise de conscience faite, l’acceptation de ce qui est, puis la transformation de cette mémoire émotionnelle, vous devez transformer quelque chose dans votre manière d’agir. Ceci afin d’imprimer dans votre cerveau limbique, la nouvelle croyance qui a résultée lors de la transformation de l’émotion vécue.
Sans cet acte concret, rien ne changera. Notre biologie est ainsi faite. Nous sommes programmés pour tous nos comportements. Ces programmes peuvent évolués et tant mieux. Mais, ils ne peuvent le faire sans une action de notre part.
L’endométriose, une histoire du passé ?
Bien m’en garde d’affirmer que vous pouvez guérir de cette maladie, alors que la médecine elle-même botte en touche. Le docteur Hamer a toutefois mis en lumière ce que la médecine ancestrale avait compris.
Nous ne sommes pas qu’un corps physique. Nous sommes un ensemble de corps qui interagissent les uns avec les autres et surtout les uns pour les autres. Prendre soin de son corps en ayant une très bonne hygiène de vie comme l’alimentation, le sport et alimenter nos pensées par des attitudes positives c’est bien.
Mais se débarrasser de tout le poids de nos mémoires passées et transgénérationnelles c’est mieux.
C’est vers cela que doit aujourd’hui évoluer la médecine, qu’elle soit allopathique ou naturelle. Notre corps nous parle. Nous pouvons essayer de ne pas l’entendre, vouloir le faire taire, ou l’aider à « aller mieux ». Nous ne serons pour autant pas en santé sur tous les plans de notre être si nous occultons une seule de ses parties.
Les émotions en sont la porte d’entrée que je vous invite grandement à franchir.
Déjà pour vous sentir mieux dans votre corps car soulagés peut-être de mots jamais exprimés auparavant, mais surtout pour vous sentir unifiés et en parfait accord avec vous-même.
Cet accord parfait c’est le fil d’Ariane qui relie notre personnalité à notre âme. Une fois, celui-ci tendu, il ne nous reste plus qu’à le suivre et sentir la vie circuler de nouveau en nous.
La maladie et nos mémoires émotionnelles
Quel bel article ! Clair, intéressant, constructif et ouvrant la porte à de belle possibilités de solution.
Bravo et merci
J’aime beaucoup ce que vous faites
Bonjour damien,
Merci pour votre commentaire. Je suis heureuse de lire que cet article puisse, en effet, laisser entrevoir des possibles là où l’on pensait peut-être ne pas en avoir.
Si c’est le cas pour vous, vous m’en voyez ravie.
Nelly
Merci pour ce très bel article ; un point néanmoins reste obscur , lorsque vous parlez des actes à poser . Auriez-vous des exemples concrets ? Merci à vous .
Merci Marie, je suis ravie que l’article vous ait plu. Pour répondre à votre question, il est difficile de présenter un exemple concret, cela impliquerait que je relate une histoire de vie et son déroulement thérapeutique. Je vais toutefois essayer d’éclaircir ce point :
Si la personne prend conscience que sa maladie est liée à son vécu, comme par exemple une femme ayant développée une endométriose dont le vécu adulte est de se sentir coupée entre deux sentiments amoureux et qui enfant a vécu des peurs à cause d’insécurité dans le foyer où elle vivait. Elle devra, outre la libération du ressenti négatif relatifs aux événements cités grâce à une technique de libération de stress avec laquelle j’accompagne mes consultants, poser un acte concret dans sa vie.
Ce pourrait être de rompre avec l’une des deux relations, ou bien dépasser ses peurs de l’insécurité en réalisant des choses qu’elle n’osaient jamais réalisées auparavant. Elle peut aussi poser un acte plus symbolique par l’écriture d’une lettre, un dessin ou autre..Ce qui importe par « l’acte à poser » est de mettre le corps en mouvement conjointement à la libération émotionnelle du ressenti passé (lié à la pathologie déclarée). Notre cerveau enregistre par nos sens, ne l’oublions pas.
Faire une thérapie sans mettre le corps en mouvement n’est que nourriture du mental et non transformation profonde de nos modes de fonctionnement.
J’espère avoir été claire !
Bien à vous Marie
Nelly
Merci Nelly. J’ai une endométriose avancée, et le résultat de mes dernières analyses de sang me fait dire qu’il est temps que je regarde en face mon histoire avec douceur et plus douleur. J’ai subi un avortement à 16 ans, et malgré plusieurs thérapies j’ai pris conscience ce jour en lisant votre article de la punition que je m’inflige depuis 30 ans, en réponse à cet acte tellement violent pour le corps et pour l’esprit. Le poids de la culpabilité est tel que je me suis littéralement coupée de mon bas ventre, que j’ai rejeté mon bas ventre et m’inflige tous les mois une petite mort pour me punir en me vidant littéralement de mon sang. Bref, le chemin de libération est parfois complexe, mais en tout cas, merci pour cet article qui m’a permis d’aller contacter une émotion refoulée depuis si longtemps.
C’est à mon tour de vous remercier Delphine pour ce témoignage que je sens si sincère. Je vous souhaite de tout cœur que cette mise en lumière de votre émotion refoulée soit le début d’une transformation profonde (corps et esprit) :).
Bonjour Nelly
Superbe article
Voici mon témoignage:
J ai toujours eu des règles très douloureuses .Lors de ma première grossesse j ai déclenché une endométriose de la lèvre inférieure et tous les mois j avais des règles et une lèvre qui gonflait et saignait fort!!
Un beau jour j ai dû me choisir un surnom dans un stage de décodage
Sans réfléchir j ai choisi pizzicati
En langue des oiseaux plus tard j ai eu une grosse émotion en voyant ‘´coupee du pis’´ Dans ce surnom
Or j ai toujours pensé que je n étais pas le bébé de mes parents ( échange probable à la maternité par erreur)
Ce qui est fou c est que le mois suivant ma lèvre n a plus saigné !!!!
Peu avant son décès m’a mere m a avoué qu elle avait eu un doute lorsqu on lui avait ramené son enfant!!
Incroyable!!( merci Claude.S.
Merci pour votre témoignage, il démontre que le corps ne ment pas ! 🙂
Bonjour Nelly,
voilà quelques années que je souffre de règles hémorragiques suite à la pose d’un stérilet au cuivre, qui durent encore aujourd’hui. De plus, j’ai du l’année d’après faire une opération d’un fibrome placé pile à l’endroit où le bébé prend place lors d’une grossesse qui m’occasionnait des contractions utérines.
En lisant votre article, je me demande si la suite de beaucoup de phénomènes peuvent expliquer l’endométriose. Dans mon cas:
– une grand mère qui est partie en folie suite à son premier accouchement.
– un climat insécure dans mon enfance
– Un père qui souhaitait un garçon et ne voulait pas que j’ai une relation stable
– une fausse couche jeune qui m’a bouleversée ( je ne pouvais pas garder cet enfant mais je vivais mal sa mort
– des relations conflictuelles dans mes relations amoureuses ( agressions verbales ou menaces de morts de la part de certains de mes ex)
– et pour finir une peur bleue de faire un enfant et de mourir à l’accouchement (Raison inexpliquée)
Est-ce donc possible que le tout fasse partie du problème et si oui arrive-t-on à le traiter et comment ?
J’approche des 40ans et sans la dissolution de ce problème, je me vois mal réussir à faire un enfant. (Trop anxieuse et angoissée)
Merci en tous les cas pour votre article qui éclaire un peu ma lanterne.
Bonjour Sandra,
Merci pour ce témoignage avec autant de sincérité. La description de vos diverses blessures émotionnelles peuvent en effet être l’une des premières causes de vos soucis de santé gynécologiques.
Il est toujours intéressant de comprendre le sens de nos maladies et de chercher à en retrouver la cause. Il est indéniable que entreprendre une démarche thérapeutique aide à restructurer notre façon de pensées, à se libérer de nos anciens schémas voir de couper les liens transgénérationnels et par conséquence favorise un meilleur équilibre psychique, émotionnel et physique.
Si vous le souhaitez, vous pouvez me contacter par mail ou via la boutique « consultation ».
A très bientôt Sandra.
Bonjour Nelly,
Merci pour votre article que j’ai lu avec beaucoup d’intérêt.
J’ai une endométriose très douloureuse, qui m’a causé une sévère infertilité.
J’ai toutefois un doute sur son origine. Lorsque j’étais plus jeune j’ai été mariée à un homme qui ne me correspondait pas, notre relation était malsaine, il me mentait tout le temps, il se droguait,… j’ai ainsi développé le souhait de ne pas avoir d’enfants et j’ai également eu une relation extra-conjugale.
Quelques années plus tard mon mari et moi nous sommes quittés (ma relation extra-conjugale était déjà terminée et avouée à mon mari). J’ai ensuite connu mon actuel compagnon avec qui je vis depuis 7 ans et avec qui j’ai de suite eu le désir d’avoir un enfant. finalement on a réussi à avoir un enfant après 4 ans de traitements lors desquels j’ai découvert d’avoir l’endométriose. Après la grossesse les douleurs sont revenues et m’empêchent de vivre normalement. J’espérais qu’après ma grossesse ça aille mieux mais toutes les douleurs sont revenues et ont augmenté.
Or, est-ce que mon endométriose pourrait être due à mon passé avec mon ex-mari (je précise encore que les douleurs sont venues bien plus tard, lorsque j’étais déjà avec mon actuel compagnon) ou est-ce que c’est plus probable qu’elle vienne d’ailleurs, puisque la relation avec mon ex-mari ne me touche plus du tout à ce jour?
Je pense que tant que je n’ai pas trouvé la source de la maladie ça va pas être possible de la traiter…
Merci d’avance pour votre réponse
Bonjour Karine, merci encore pour oser vous dévoiler et partager votre vécu qui certainement raisonne chez d’autres femmes qui liront votre témoignage. A la lecture de votre histoire, je me demande si les douleurs que vous avez connu alors même que vous étiez dans une relation sentimentale plus stable et avec le désir cette fois d’enfant, n’étaient pas un processus naturel du corps cherchant à se débarrasser de scories…Image de vous, doute sur votre valeur, peut-être jugement…
Mais se pourrait-il aussi que vous portiez une mémoire émotionnelle de votre généalogie ? Une mémoire qui ne vous appartient pas forcément mais qui s’est activée de par votre vécu ?
Avez-vous cherché de ce côté-Là?
Qu’on vécu les femmes de votre clan ?
Comme vous le voyez, trouver la cause de sa maladie et lui donner un sens demande un accompagnement ciblé et une sorte de partenariat entre le consultant et le consulté. Ensemble, ils vont cheminer pour atteindre le bout du chemin au cours duquel le plus important sera la route et non l’arrivée…
L’endométriose, comme toute problématique physique demande une remise en question globale de son hygiène de vie, émotionnelle ça c’est indéniable mais aussi la relation à soi, l’alimentation et l’activité physique.
Je vous invite à me contacter par mail si vous le souhaitez.
A très bientôt
Atteinte d’endométriose qui affecte ma fertilité depuis bientôt 5 ans, je souhaite trouver des raisons à ce maux que mon corps physique exprime. Il m’a fallu le temps mais j’ai pris rdv chez une kinesiologue car suis enfin prête à entendre les causes métaphysiques. J’ai entamé un parcours PMA mais me sentant pas à l’aise avec cela, je préférée entamer une thérapie qui me permettra de me connecter avec mon moi intérieur… Merci pour cet article qui fait écho en moi et qui m’encourage de poursuivre ce cheminement.
Bonjour et merci pour votre article
je suis actuellement entre les mains de medecins pour comprendre tous les symptomes variés que j ai et qui ressemblent bien à une endrométriose.
Tous mes symptomes sont apparus 1mois et demi apres une grosse agréssion à l arme blanche par mon conjoint . j ai eu tres peur de mourir, la scène est restée dans mes yeux pendant des semaines donnant à chaque fois l impression de la revivre et je me suis retrouvée isolée et seule il à prit le peu d argent que j avais avant de partir. Ma question est , est ce que ce choc aurait pu devellopé tous les symptomes aussi rapidement ? ( je n ose pas expliquer cette agression aux medecins ) j ai 39ans
Bonjour, je comprends que ce soit difficile pour vous de parler de votre agression, il est pourtant important de ne pas garder le silence. Cela ne fera qu’accentuer votre sentiment de victime et surtout générera des sentiments très négatifs envers vous-même et votre agresseur au fil du temps.
votre corps biologisera votre ressenti et l’émotion qui s’est greffée et vous en souffrirait peut-être encore très longtemps.
Je ne peux que vous conseiller d’oser dire ce que vous avez vécu, mais ce qui importe aussi c’est de le dire à des personnes qui vont vous écouter. Pas simplement entendre, mais écouter ! Porter attention à vos mots, à votre langage non-verbal et aux émotions qui vont surgir durant votre narration.
Il sera aussi très bénéfique d’entreprendre une démarche personnelle pour vous libérer de la charge émotionnelle liée au trauma. Car il est évident que des symptômes ou pathologies peuvent très rapidement après un trauma comme le vôtre.
Je vous invite à me contacter par mail (directement via le site) pour effectuer ce travail de libération émotionnelle, cela peut littéralement transformer votre vie et favoriser la guérison de votre corps et votre esprit.
Bravo pour ce bel article qui résume parfaitement le lien entre les blessures émotionnelles conscientes ou inconscientes.
Tout est dit en peu de lignes, vous maitrisez le sujet.
C’est un challenge de faire comprendre à notre médecine allopathique que notre rôle de thérapeute a toute sa place et est totalement complémentaire.
Je reste également convaincu que l’on peut se libérer de ses blessures même si l’on en connait pas la source, le corps, lui, la connait.
Se reconnecter à soi, comprendre qu’il n’y a pas d’émotions négatives, que nos émotions sont des messagers à écouter avec bienveillance est à mon sens la première étape de la libération émotionnelle.
Merci pour votre article. Je souffre d’endométriose et en réfléchissant à votre article j’ai compris que le problème vient d’un sentiment de danger dans mon foyer (relations avec mes parents et beaux parents toxiques), décès de ma sœur et de ma belle sœur et caractère colérique de mon conjoint qui parfois me terrifie (explosion de colère et parfois violences verbales et gestuelles qui me rappelle en plus le caractère difficile de mon père étant enfant). Malheureusement je ne sais pas quoi faire pour me libérer de ces poids pour construire ma famille malgré tout cela.
Bonjour Nathalie,
Merci pour votre partage. Peut-être pourriez-vous décider d’entreprendre une démarche thérapeutique pour vous libérer de ces poids familiaux et des blessures émotionnelles qui se sont inscrits dans votre corps à travers la maladie.
Je vous invite à vous rendre sur la boutique du site afin de réserver une consultation en ligne
https://www.emergence-conscience.com/boutique/conseil/coaching-en-direct/
Ou à distance par mail
https://www.emergence-conscience.com/boutique/consultation-a-distance/decouvrir-le-sens-de-sa-maladie/
Au plaisir de vous lire
Nelly
Bonjour, j’ai pleuré plusieurs fois en lisant votre article, j’ai une endométriose profonde qui s’est brutalement mise à flamber, et je commence à me dire que j’en suis peut-être à l’origine… Merci à vous, je vais travailler sur vos questionnements…
Bonjour Emilie,
si votre peine s’est manifestée au moment de la lecture, c’est certainement que l’article a fait raisonnance avec une blessure émotionnelle active en vous.
Que vous soyez à l’origine du développement de l’endométriose en vous, ce n’est pas ce que je dirais, mais qu’une cause émotionnelle en lien avec votre vécu (passé adulte, enfance et/ou familial), certainement.
Belle initiative que de rechercher cette cause en vous questionnant sur ce qui vous a tant touché à la lecture de cet article.
Parfois, un texte peut tout changer dans notre vie..
N’hésitez pas à vous faire aider soit par un professionnel qui vous suit soit par mes consultations.
Amicalement Emilie.
Nelly