« Lorsque l’on tombe malade, il faut changer sa manière de vivre, car il n’y a pas de guérison sans un effort mental et spirituel. » HIPPOCRATE
Affronter ses peurs
Nos peurs nous paralysent, nos systèmes médical, social, éducatif nous maintiennent chacun à leur manière dans les peurs.
- Peur de la maladie,
- Peur du regard de l’autre
- Peur de ne pas être aimé(e) etc etc…
Devenir conscient et sujet de sa vie commence par l’apprentissage de la confiance en elle mais aussi en soi. Pour ce qui est de la maladie, rappelons-nous que nous avons traversé bien des changements au cours de l’évolution de la vie. Et qu’à chaque grand changement, nous avons su nous adapter et même évoluer…
Biologiquement, notre corps a su mettre en place les solutions d’adaptation pour assurer sa survie et la survie de l’espèce.
Nous avons développé notre cerveau en ce sens et c’est lui qui trouve les réponses les mieux adaptées face aux situations critiques pour notre corps physique et psychique.
Remercions-le, nous ne serions certainement plus là aujourd’hui s’il n’avait pas la faculté de garder les commandes quand le danger se présente…
Mais c’est sans compter sur notre partie divine. Car, vous le savez comme moi, notre enveloppe physique est nourrit par une énergie non physique mais pour autant réelle.
Nous sommes reliés à quelque chose de plus grand que la simple fonctionnalité automatique de nos cellules organiques.
Ce quelque chose on peut le nommer âme, conscience supérieure ou autre. Ce qui importe c’est de s’approprier cette vérité.
Il n’est même plus question de croire ou bien de ne pas croire. Peut-être pouvez-vous dire ça me parle ou ça me parle pas. Mais dans tous les cas, c’est.
C’est en ce sens qu’Hippocrate nous révèle un message essentiel que la médecine refuse encore aujourd’hui de considérer. Faire confiance à ce corps qui sait et retrouver le chemin de son âme pour vivre en adéquation avec notre plan de vie.
Si notre corps devient « malade » c’est considérer qu’il y a une coupure entre notre corps matière et celui non matière.Entre notre conscience basse (le mental) et notre conscience haute (la conscience de l’âme).
Il ne sert à rien, alors, d’avoir peur ou de laisser les autres nous faire croire qu’ils ont la solution pour nous. Bien au contraire, personne d’autre que nous ne peut savoir le lien rompu intérieurement pour que se manifeste dans notre corps une adaptation de survie.
Méditez sur la citation d’Hippocrate….
Et posez-vous la question :
- Et si au lieu de penser que je vais guérir, aller mieux, que les choses vont changer si par exemple je prends des médicaments, si l’autre change, si et si et si…
Je fais confiance à mon corps et que je ne suis plus dans la peur, par exemple de la maladie, je peux alors l’écouter.
Vous le laisserez être le messager de votre âme et il vous guidera vers le changement que vous devez et seulement vous, opérer.
Car en cherchant toujours à l’extérieur, en donnant le pouvoir à votre mental qui ne saura que reproduire un schéma de protection ancestral, vous nourrissez vos peurs.
Mais au contraire si vous revenez vers vous, si vous faites confiance à votre corps et que vous décidez que vos peurs n’ont pas à agir à votre place, vous pouvez alors écouter cette peur, l’apprivoiser et la laisser aller.
Seul le changement guidé par votre être profond et l’abandon total à cette voix intérieure vous livreront la vraie guérison, celle du corps et de l’esprit.
Pratiquant cette manière de penser depuis plus de 25 ans, jamais elle ne m’a trompée. Elle est mon fil conducteur et me permet justement lorsque mon corps me parle de me rappeler que je m’éloigne de mon âme !
Je vous invite à expérimenter. Peut-être faudra t-il vous faire aider au départ ? N’est-ce pas cela parfois qui demande un effort, comme le souligne Hippocrate ?
Un peu…beaucoup de volonté ? Ce n’est pourtant qu’à ce prix et par cet effort juste et mesuré que vous en récolterez les fruits et bien plus certainement que vous ne puissiez l’imaginez !
demande d’être accompagné(e) afin de se sentir épaulé(e) et soutenu(e) dans ce passage qui n’est pas forcément aisé.
A contrario, il vaut le coup de sauter le pas, car faire peau neuve avec son passé c’est renaître à son présent !
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